Aïkido Traditionnel Lyon 69 Dojo aikido Lyon 5

L'aikido est un art martial japonais

• Dans un sport il y a des compétitions et des champions. Dans un art il n’y a pas de compétition pas de champion mais des artistes et des maîtres de l’art.
• Celui qui confond, ces deux choses (très souvent des pratiquants qui devraient le savoir ). est donc incompétent, Le futur pratiquant connaît donc immédiatement la compétence de son vis-à-vis. Pas besoin d’avoir pratiqué pour cela.
• Pourquoi des pratiquants voir des professeurs font cette confusion ?
  Tout simplement parce qu’ils sont uniquement intéressés par l’aspect physique de la pratique qu’ils assimilent immédiatement avec un sport.
  C’est le problème du formatage tout est vu et notamment ce que l’on ne connaît pas par ce prisme déformant. Comment en plus cela ne gêne personne, alors pourquoi changer ?
  
  Le misonéisme(1) est donc une des plus grandes difficultés que rencontre le pratiquant d’aïkido.
  (1) Tendance d'esprit ou attitude systématique d'hostilité à l'innovation, au changement (dans les habitudes et les préjugés établis)
• Tout le vocabulaire japonais d’ailleurs vous le confirme, sauf que la plupart du temps les pratiquants n’y font plus attention depuis longtemps.
• Tout le monde emploie le terme "kimono" impropre au lieu de l’aïkido gi vêtements d’aïkido ou Keiko gi vêtements d’exercice. Si confondre en smoking avec un survêtement et chose courante sur les tatamis…
• "Dojo" c’est la même chose, comme ceux-ci se trouvent dans des salles de sports municipale la plupart du temps, on va donc faire du sport et on a donc l’attitude adéquate d’autant que le formatage sportif et inculquer dès la naissance.
  Alors que c’est l’endroit "Jo" où l’on étudie la voie "do" du maître du dojo…. Il n’y a donc qu’un maître par dojo, combien de dojo ont plusieurs professeurs diplômés d’État c’est-à-dire une compétence locale très éloignée de l’aïkido du fondateur Morihei Ueshiba.
• De même pour les termes qui désignent le pratiquant qui n’a pas entendu même dans la bouche de gens qui n’y connaissent rien des termes comme "karatékas", "judokas", "aïkidokas…" qui désignent les pratiquants.
  Qui emploi le terme "judo senshu" Senshu" veut dire "sportif/participant a un sport de competition". "judoka" ("pro expert de judo")
  Le terme ka ayant le sens d’expert…. On a donc que des experts, beaucoup moins connu sont les termes montei, monka, monjin qui désignent l’élève…
  (*) Il n'y a pas en japonais de désinance du féminin, ni du masculin (on peut dire qu'il n'y a pas de genre au sens où on l'entend dans beaucoup de langues occidentales).
  Genre joshi (fille), Senshu (sportif/participant a un sport), "senshi" (guerriers) de competition). Il existe le terme "joshi judoka" mais dont le sens est "professionnelle de judo" ou "specialiste de judo"
• Comme on peut le voir la confusion et l’dès le début et constante.
• Il est ahurissant pour le pratiquant d'un art martial japonais, de voir à quel point 98% de la population confond « art martial » et « sport martial ».
• Pensez-vous qu'un artiste au sommet de son art la cuisine, comme Paul Bocuse, s'il avait été encore vivant, aurait aimé être confondu avec un sportif culinaire comme "le champion du monde des mangeurs de boudin" ou "le champion de France des avaleurs de flamby…"
• C'est ce qui se passe quand vous confondez des sports martiaux comme le judo karaté kendo etc… qui ont des compétitions et des champions…
• Avec l'aïkido un art martial où il ne peut pas y avoir de champion sans faire exactement l'inverse de l'aïkido, où il ne peut donc pas y avoir de champion puisqu'il s'agit d'un art comme la musique, la peinture, la gastronomie...
• La compétition c'est le monde de la dualité, de l'opposition, la pratique de l'aïkido c'est la recherche de l'unité de l'harmonie c'est à dire exactement l'inverse. En aïkido contrairement à un sport on ne compare pas des égos, on ne recherche pas qui est le meilleur tout le monde et sur une voie, dans une démarche où l’objet tif et la maîtrise de cet art, certains sont plus avancés que d’autres.
• Comment le mesurer c’est tout simplement impossible. Comment peut-on dire qu’on est à la moitié au quart d’un chemin infini. Car la perfection dans un art est infinie on apprend on se perfectionne tous les jours. Il n’y a pas de gens qui détiennent la vérité, mais des gens plus avancés qui aident les moins avancés pour ensemble car on ne peut pas le faire tout seul, évoluer dans la connaissance de l’aïkido.
• Les arts occidentaux n'ont pas de champion, ni de compétition, pas de chmapion, mais des artistes et des maîtres de l'art, des amateurs et des élèves qui espèrent un jour être à leur tour des artistes ou des maîtres de cet art…
• Le monde de la consommation nous a appris à nous méfier des étiquettes, alors écoutez les gens crédibles et ne vous polluez pas avec les arnaqueurs.
• Chaque fois où vous constatez que votre interlocuteur confond aïkido et sport, même s'il pratique surtout s'il a une belle carte de visite (l'outil essentiel de l'incompétence), vous savez que vous avez affaire à un incompétent et un ignorant.
• Il ne suffit pas d'imiter des techniques que montre le maître à chaque cours pour avoir compris quelque chose à cet art !
• Là encore pour prendre une image il ne suffit pas de gratter une guitare pour avoir compris quelque chose à la musique et à son histoire.
• On peut dire que c'est un investissement en temps et en effort que tout le monde n'est pas prêt à engager. Car tout simplement on a d'autres priorités à nos yeux plus importantes

Aïkido Traditionnel ou la transmission d'un art de maitre à disciple

• Un art par définition n’a pas de limite. Chaque artiste va essayer d’atteindre la perfection de son art sans jamais obtenir. C’est donc une voie de progression sans fin. Contrairement aux sports, ou d’autres activités elle parfaitement normalisée que l’on peut mesurer, comparer, évaluer faire rentrer dans un cadre très précis.
• Un art s’apprécie vous allait apprécier un morceau de musique d’un artiste, la peinture de ce peintre la cuisine de cet artiste culinaire. Mais il n’y a aucune échelle aucun moyen de mesurer les uns par rapport aux autres on apprécie ou pas c’est du domaine de la qualité. En Orient on apprend que la qualité ne se mesure pas. C’est pourquoi dire que quelque chose est bons ou mauvais n’a aucun sens pour un oriental et un pratiquant d’aïkido a fortiori puisqu’il pratique un art oriental. C’est là encore un moyen de reconnaître les gens compétents des gens incompétents. Quelqu’un qui veut vous faire rentrer dans un cadre de mesures vous dira ces bombes ou c’est mauvais, un pratiquant d’aïkido compétent ne le fera jamais.
• Réfléchissez au barème de notation qui nous a occupé toute notre scolarité et qui nous a formaté intellectuellement. Vous avez eu votre moyenne est réussie votre examen. Quand on y réfléchit la moyenne c’est la moitié de la note maximale vous êtes donc à moitié compétents ce qui n’existe pas. Imaginez un plombier qui répare votre chaudière à moitié parce qu’il est à moitié compétent, qu’il a eu dix sur vingt à son examen. Un chauffeur à moitié compétent est dangereux. Confiez-vous votre vie un médecin qui est à moitié compétent ? Malheureusement oui la plupart du temps car vous n’êtes pas compétents en médecine et vous faites confiance aux professionnels… ce qui explique qu’il y a en France plus de cinquante mille morts par ordonnance chaque année…. la quantité elle se mesure. On a cinq mille heures d’entraînement, que l’on peut jalonner avec une horloge. Mais peut-être que l’on a fait que pointer, fait n’importe quoi pendant ces cinq mille heure. Même avec un million d’heures de pratique certains ne feront toujours pas grand-chose à part passer le temps…
• Dans notre société de consommation on ne s’intéresse qu’à la quantité est rarement à la qualité. Cette vision simpliste fausse la pratique pour celui qui débute. On vient pratiquer l’aïkido avec des idées bien précises alors qu’on n’y connaît rien, pourtant il faudra un certain temps et certaines circonstances particulières pour abandonner ses idées qui nous empêchent tout progrès.
• Nous avons tous besoin de repères fixes fiables à partir desquels nous prenons nos décisions et adaptons nos comportements. Quand on n’y réfléchit ces repères ont été imprimé dans notre cerveau de manière très aléatoire et parfois ils ne sont pas corrects. Ce qui va entraîner la dissonance cognitive.
• Prenons simplement les propos d’Albert Jacquard dans ce même chapitre. Comment vont réagir ceux qui ont été élevés dans la culture sportive depuis leur plus tendre enfance ?
• Certains vont s’accrocher à ses repères qui freinent toute évolution, ce qui va les amener à avoir des comportements non souhaitables dans la vie mais aussi dans un dojo d’aïkido.
• Naïvement le débutant ou les gens qui ne pratiquent pas pensent que par miracle les pratiquants ont l’attitude et le comportement prôné par la discipline. En réalité l’aïkido les met en face de leurs problèmes de décider et de faire leur choix. De leur choix dépendra donc leur évolution et leur avenir dans cet art.
• Certains feront toujours les mauvais choix incapables d’abandonner des repères non fiables. Ce qui va entraîner des comportements qui n’ont rien à faire dans une pratique comme l’aïkido. Mais la souffrance engendrée par cette dissonance cognitive va être l’origine de ces comportements inadaptés.
• D’autres choisiront la lâcheté, la fuite et se feront leur propre définition toute personnelle de l’aïkido qui n’a rien à voir avec l’enseignement du fondateur. Chacun ses limites, c’est ce qui fait que les gens de qualité sont rares et appréciés. Pour progresser il faut être cohérent pas facile pour les humaine
  La dissonance cognitive est la souffrance engendrée par la tension consciente ou inconsciente dans la pratique de l'aikido mais aussi dans la vie, qui ne parvient pas à accorder deux pensées ou actes contradictoires.
  Cette souffrance se traduit par des comportements qui peuvent s'avérer problématiques dans la vie quotidienne en société: irritabilité, fuite de la réalité, agressivité...
• Si vous n’avez pas abandonné votre formatage qui vous empêche tout progrès. Il sera très difficile plus le temps passe d’abandonner ses convictions du début. C’est ce que l’on appelle la dissonance cognitive Leon Festinger (1919-1989). une personne qui se trouve confrontée simultanément à des informations, opinions, comportements ou croyances qui la concernent directement et qui sont incompatibles entre elles, créer un traumatisme psychique insupportable qui va l’amener n’ont pas à réglé le problème mais à l’augmenter ou le rendre impossible à résoudre.
• Exemple : vous croyez que Nostradamus a prédit la fin du monde le 1er janvier 2022, vous en êtes persuadés… constater évidemment que ce n’est pas vrai. Cette dissonance cognitive va vous pousser à trouver des raisonnements, des signes, des indications pour expliquer qu’en fin de compte c’est peut-être juste une erreur de semaine de mois ou d’années mais que la réalité là qu’en fin de compte Nostradamus ni vous n’avez tort… ces démarches psychiques irrationnelles n’ont pas d’autre but que que d’atténuer la souffrance de cette dissonance cognitive… prenons un autre exemple de la vie courante. Vous avez un tas de bonnes raisons de ne pas accepter un travail et vous développez tout un argumentaire parfaitement justifié pour le faire. Sauf que votre situation précaire, vos obligations etc. vous obligent de prendre quand même…. Vous tombez malade car vous aviez vu juste, mais c’est sans compter sur la dissonance cognitive où vous allez reprendre les mêmes arguments qui vous incitaient à ne pas prendre ce travail à l’opposé pour justifier le fait que vous l’avez pris…
• Cette difficulté à reconnaître nos erreurs lorsqu’on les a commises pendant longtemps, font que la plupart du temps lors de la prise de conscience le pratiquant au lieu de corriger et d’utiliser cette mauvaise expérience à son profit préfère arrêter de peur de se tromper encore une fois.
• Le débutant se demande souvent physiquement s’il pourra pratiquer l’aïkido on s’aperçoit que oui dans tous les cas mais c’est son fonctionnement mental et psychique qui seront le plus gros problème et qui décideront de son avenir.

L'aïkido c'est la recherche de l'unité de l'harmonie

• Albert Jacquard n'a jamais pratiqué l'aïkido, c'est un savant occidental, pourtant il en arrive à la même philosophie... d'autre aussi comme Louis Fouché aussi...
• La compétition c'est de la folie, c'est la destruction des uns par les autres....
• La compétition ce n'est pas souhaitable, Albert Jacquard (1994) : “Car on est en train de sélectionner les gens les plus dangereux !”
• La mise en concurrence est-elle forcément synonyme de progrès ? Non, répondait Albert Jacquard pour qui, au contraire, la compétiton était un danger !
• La morale collective actuelle nous fait croire que l’important c’est de l’emporter sur les autres, de lutter, de gagner. Nous sommes dans une société de compétition.
• Mais un gagnant est un fabricant de perdants.
  Il faut rebâtir une société humaine où la compétition sera éliminée.
  Je n’ai pas à être plus fort que l’autre.
  Je dois être plus fort que moi grâce à l’autre.
• Voir la vidéo ... »

à partir de 8 ans jusqu'à la fin de sa vie

• On sait depuis longtemps que les personnes qui pratiquent fréquemment une activité physique adaptée tombent moins souvent malades (1). https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30202268/ https://rua.ua.es/dspace/bitstream/10045/110820/1/JHSE_2020_15_Proc4_01.pdf
• Des études scientifiques ont montré qu'une activité physique adaptée augmente considérablement le nombre de cellules tueuses naturelles et le nombre de lymphocytes B, les responsables de la production d'anticorps.
• Le booster immunitaire qu'est le sport doit toutefois être utilisé de façon bien dosée car un une activité physique trop intensive fragilise l'immunité, notamment en fragilisant la muqueuse intestinale, et donc augmente le risque de contracter une maladie.
• A partir de 8 ans, car avant il faut bien avouer que c’est de la garderie. si votre santé le permet vous pouvez pratiquer jusqu’à un âge très avancé.
• L’aïkido n’est pas un sport, cela induit qu’il n’y a pas de programme, pas de performance à réaliser et que chacun travaille en fonction de ses limites et de ses possibilités c’est pour cela que la pratique de l’aïkido est bénéfique car c’est une activité physique, nous sommes beaucoup trop sédentaires à notre époque, cette pratique visitait adapter à chacun donc il n’y a pas mieux pour votre santé.
• Pourquoi ? 98% de la population confond « art martial » et « sport martial »
• Tout simplement parce que dès le plus jeune âge en Occident toute activité physique est vue à travers le prisme déformant du sport…
• Votre médecin, les médias vous diront :
  pratiquer un sport c'est bon pour la santé
• Qui n'a pas entendu cette phrase complètement fausse…
• Ce qui est excellent pour la santé c'est une activité physique adaptée a vous… et pas le sport qui vous détruit
  Ce qui vous convient ne convient pas forcément à votre voisin.
• regardez les anciens sportifs de haut niveau et leur problèmes physiques, tout simplement parce que dans le sport on vous incite à dépasser vos limites physique et lorsque l'on fait cela on le paye cash tôt ou tard… Comme tous les excès quelque soit leur nature et c'est une loi que l'on apprend lorsqu'on pratique un art oriental comme l'aïkido. lorsqu'on va trop à l'ouest on se retrouve à l'est… la nuit au maximum donne le jour etc. la simple évidence et la simple observation nous le démontrent constamment sauf que l'on ne sait pas observer ni regarder, l'objectif des médias étant de formater notre cerveau pour satisfaire les lobbies…

L'Aïkido traditionnel un art moderne et quantique

• La génétique intervient bien moins qu'on le dit moins de 3% voir moins selon certains chercheurs... 1% des maladies en réalité sont concernées par la génétique... Changez vos pensées. Changez votre vie. c'est notre conscience et notre esprit qui sélectionne les gènes …. Les gènes sont des plans… qui lis le plan ? qui est l'architecte de votre vie, il s'avère que c'est notre conscience, notre esprit…. Si nous changeons nos croyances, nous changeons toute notre biologie Dr Bruce Lipton, Vous êtes reconnu comme le père de l'épigénétique
• La confusion est fréquente: un maître n’est pas un: expert, champion, technicien. Un titre de Maître est obtenu d’un autre maître reconnu et en général du fondateur de l’art martial concerné (quand celui-ci n’est pas devenu un sport dans ce cas il fonctionne comme tout sport occidental boxe lutte et n’a palus aucun rapport avec son origine) Un: expert, champion, technicien sont des titres sportifs décernés par une fédération dirigée par des amateurs. Un pratiquant d’art martial obtient ses grades et menkyos de son maître pas d’une fédération d’amateur incompétents en aïkido la seul personne compétente est le fondateur de l’aïkido ce qui est une évidence et pas la fédé franco française tartempion
• Placebo ou nocebo 70% de nos pensées sont négatives, un vrai poison....
  1. Quand la vraie science moderne rejoint l'aïkido
     Epigénétique Dr Bruce Lipton »
     
  2. Notions quantiques »
  3. Le psychisme une couche du corps qui influe sur la santé »

Devenir un maitre d'aïkido: la voie "do"

• La maîtrise d’un art comme l’aïkido impose au pratiquant de connaître ses limites. Cette recherche de ses limites sans les dépasser est une étude permanente.
• Sur le plan physique c’est l’objectif de la préparation informer nos cerveaux des limites physiques avant la pratique, quelles sont les limites de notre compétence, avec qui je vais pratiquer comme tout est hiérarchisé dans un dojo cette recherche délimitée permanente sur le plan physique. Mais cette étude ne se limite pas seulement au physique, sur le plan de la connaissance, lorsque je réponds à une question sur l’aïkido à quel moment je dis des bêtises, ou s’arrête ma compétence de la même façon lorsque j’explique ou que j’aide un pratiquant.
• Détruire un ennemi rien n’est plus facile pour une brute sans cervelle qui aura de toute façon quelqu’un de plus fort que lui.. il ne le comprendra que lorsqu’il aura essayé ….
• Et que martialement il sera mort en effet contrairement aux sports on ne peut pas recommencer… un champion martial d’aujourd’hui est quelqu’un qui a été battu de nombreuses fois et qui donc martialement est mort depuis longtemps…
• C’est donc une ineptie martiale, une perte de temps, le formatage sportif… vaincre l’autre par tous les moyens à tout prix même en trichant… Il suffit de voir l’actualité sportive, le fameux esprit sportif… et c’est péjoratif.
• Dans la pratique martiale il n’y a pas d’ennemis à vaincre, pas d’opposants, pas d’adversaire c’est une erreur de croire… Le véritable objectif c’est vous ! C’est d’ailleurs le sens du terme « do », qui signifie développement de soi-même. Nous sommes tous différents avec des capacités différentes nous pratiquons donc pour être le plus performant possible.
• On voit donc que le partenaire en aïkido et dans les arts martiaux en général, n’existe pas c’est simplement grâce à lui que nous allons nous améliorer, sans lui ce n’est pas possible, notre partenaire n’est pas notre adversaire ni notre complice il est les deux le yin yang l’un n’existant pas sans l’autre. Difficile à comprendre pour un occidental qui est binaire. C’est pourtant une évidence avec un adversaire on n’apprend rien on applique ce que l’on a apprit le plus vite possible sinon c’est lui qui vous mettra hors de combat.
• Avec une danseuse on fait de la danse et non pas un art martial.
• Dans une séance d’aïkido le partenaire vous permettra de travailler le plus justement possible et s’adaptera à vos limites et si vous avez des fantasmes de petits samouraïs ou un ego exacerbé qui vous incite à vous croire supérieurs à tout moment votre partenaire reprendra les commandes et vous démontrera que vous faites une erreur. En vous permet d’apprendre pas de faire n’importe quoi, d’amener le meilleur de vous-même le reste reste à la porte du dojo et ne rentre pas à l’intérieur. On retrouvera cette attitude aussi dans les comportements entre pratiquants et dans le dojo.
• Dans la pratique martiale une technique réussie c’est la vie, une technique ratée c’est la mort…
• Comme l’ont fait constamment des erreurs quelques soient notre degré de maîtrise, la pratique consiste à ne plus les refaire c’est ainsi que nous évoluons.
• Le pratiquant d’aïkido en cherchant ses limites et celle de son partenaire sait s’il doit affronter son adversaire ou partir le plus vite possible, la base de la pratique étend le jugement. Les spécialistes au premier coup d’œil connaissent la dangerosité de celui qui est en face d’eux.